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Epilost
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27 décembre 2013

Un mot sur le Hobbit : La désolation de Smog



Un mot, à propos du film dont je m'extirpe en même temps que des salles obscures. Je pense que ça va devenir une habitude... Déjà parce que j'aime me croire intéressant au point d’écrire, et aussi parce que la dernière critique à propos de TS Spivet à eu un bon accueil. Entendons nous bien, je n'ai pas la prétention de croire que je sais totalement de quoi je parle, seulement je vais me permettre de vous livrer ici, mon ressentit de profane éclairé. Et malgré le verre de Whisky et le cigarillo qui braise tranquillement devant moi, je ne me prend pas pour un critique.

Bref, Le Hobbit : La désolation de Smaug. La série du Seigneur des anneaux à grandement marqué mon adolescence. Peut être est-ce à cette époque que j'ai cessé d’apprécier le cinéma, que je m'y suis plutôt grandement intéressé au point d'en faire l'un de mes grand amours. Aussi loin que remonte mes souvenir, je crois avoir toujours aimé le cinéma. J'aime l'image, j'aime le spectacle, j'aime le fait de me trouver dans une salle sombre entouré de dizaine d'inconnu... Hmmm... Plus sérieusement, J'aime aussi savoir comment fonctionne les choses, au même titre qu'il me fut arrivé de bidouiller des appareils électriques pour comprendre comment que ça marche, j'aime me poser des question en voyant un film. Pourquoi le réalisateur à il posé sa camera ici plutôt que là, pourquoi cette gamme de couleurs ? Pourquoi ce décors ? Et surtout ,pourquoi telle ou telle façon de raconter ? J'aime les récits peut être autant que j'aime l'image, et comme je l'ai déjà dit bien avant, je me désole de vivre dans un monde où Hollywood, ayant la main mise sur le domaine du cinéma (Ce qui représente à notre époque l'une des plus grosse source d'image et de récit), défend l'idée selon laquelle on pourrait résumer tout les scenario du monde à 10 schémas narratifs. Camarades ! Unissons nous et transperçons les frontière de cette honteuse décade à la recherche du Onzième scenario ! Parcourons les landes de nos imaginaires afin de traquer le Douzième ! Et lorsque le Treizième sera conquis, nous n'auront de répits avant d'atteindre le suivant ! Enfin merde quoi ! Sincèrement, maintenant que je fume mon cigare et baigne dans la fumée, je peut vous le dire, ça me désole le Smog...

 

Bref, toute cette justification à propos du pavé qui va s'ensuivre n'a pour but que de légitimer les quelques bémols que j'inflige parfois aux œuvres qui m'ont conquis. Car oui, on peut aimer quelques chose mais lui trouver des défauts. J'en parle ici car c'est la deuxième fois en une semaine qu'on me reproche (parfois vivement) de ne pas aimer quelques chose simplement parce que je lui ai trouvé ça et là des imperfections. Défendant vivement l'objet de la discorde (en s’éloignant du sujet malheureusement), on me reprocha de l’hypocrisie, ce à quoi je réponds humblement (et sans attaque) qu'il ne s'agit là que d'une prise de recul. Le premier étant le manque de connexion que je voyait entre le spectateur et le héros dans "Man Of Steel", le second étant : Le Hobbit...

Alors le Hobbit ! Histoire d'en faire hurler certain, je suis de ceux qui pense que : Oui ! On peut faire trois film avec un livre de 150 pages. Tout comme on pourrais résumer la bible en 3 plan. Je ne crois pas que quoi que ce soit puisse un jour être sacré au point qu'il serait légitime d’interdire à quelqu'un d'en faire ce qu'il veux. Le générique indique "D'après l’œuvre de J. R. R. Tolkien", et n'a jamais dit que cela serait l'exacte retranscription du livre adapté à l’écran. Peter Jackson n'a signé aucun contrat avec un horde de fan qui s'imaginaient que l’œuvre leur appartiendrais si il l'avait apprécie. Pour info, je fait parti, du cercle hélas trop restreint qui ont aimé ce que Steven Spielberg à fait du Secret de la Licorne. J'ose même clamer que son "Capitaine Haddock" est peut être même plus juste et intéressant que ce qu'en à fait Hergé. Je n'ai rien contre le remplissage, à condition que ce soit bien fait. Dans la trilogie du Seigneur des Anneaux, beaucoup de choses furent éludée et retirée du récit original, mais bien d'autres aspect ont été ajoutée. Alors, par exemple que Tolkien nous peignait une Arween cul-cul et chiante, Peter Jackson eu le culot de mixer son personnage avec celui de Glorfindel, nous offrant l'image d'une elfette plus combattante, volontaire, utile, et avouons le, plus proche des standards "elfettes" des jeux de rôles actuels. Et puis entre nous, qui se soucis de Glorfindel ? Je suis presque sur que vous ne savez pas de qui il s'agit. L'apparition des Lothlorinois au gouffre de Helm est plus que bienvenue dans ce climat de tensions. Bon en revanche, je doit l'avouer, le roi Elfe Elrond venant apporter Narzil en collissimo, c'était relativement kitsch. Comme je l'ai dit, j’apprécie les ajouts, dans la mesure où c'est bien fait. Cherchez pas, dans le Hobbit, la plupart de ces ajouts sont ratés !

En premier lieu, je parlerais de Tauriel, nouvelle venue dans le paysage, secondant un Orlando Bloom bien épais, lequel campe l'elfe Legolas qui à l'air d'avoir englouti ses précédents salaires chez le pourvoyeur de Big-mac local. Il faut arrêter de croire qu'il est intéressant d'ajouter de la romance et des histoires d'amours là où il n'y en à pas besoin. Et il faut arrêter de croire qu'un personnage féminin doit obligatoirement en pincer pour quelqu'un, c'est ridicule et ça agace. J'en veux pour preuve que je connais plusieurs jeunes femmes dans mon entourage qui ne sont pas amoureuse de qui que ce soit, j'en veux même pour preuve que j'en connais quelques une qui sont absolument asexuées et ne minaudent pas comme des collégiennes à la proximité d'un porteur de baloches. Cette sale manie fut en grande partie responsable du flop provoqué par le film Pirates des Caraïbes 4 (oui ce soir, je cause blockbuster) où les scénaristes ajoutèrent deux romances. Bien peiné d'avoir terminé l'arc (néanmoins intéressant) parlant de la relation entre Will et Lyz, ils envoient une groupie au pirate Jack Sparrow en la personne d'une Pénélope Cruz si malvenue et énervante qu'elle efface le personnage principale. Nouvelle fausse note, un jeune curé, très certainement puceau s'amourache d'une créature diabolique, une sirène représentant une femme fragile et sans défense (elle n'a même pas droit à la protections de vêtements, c'est dire...) que, protégeant, il baptise aussitôt du nom de "Sirena"... Who putain ! Pouvions nous faire plus imbécile et bassement vulgaire que "Sirena" ? Je me souviens avoir jeté un œil dans la salle où tout les spectateurs désabusés s'observaient, comme dans une espèce de solidarité commune face à une catastrophe. Cela dit, j'ai aussi globalement aimé le film, peut être parce que je suis bon publique. Où sans doute parce que Sirena à poil, c'était quand même quelques chose !..

Source: Externe

Plus bas le cadre ! Plus bas !


Dans le Hobbit hélas, la présence de cette elfette n’a d’intérêt qu'une romance clichée, romance constituant bien entendu un triangle amoureux, schéma plus qu'original pour une intrigue amoureuse, tout comme la naissance de l’idylle, apparaissant en quelques phrases bien choisie par nos deux séducteurs. "Y a quoi sur ton caillou ?" "C'est un caillou porte bonheur !" "Ho c'est un beau caillou, j'avais jamais vu un cailloux comme ça !" "Moi un jour j'ai vu une lune rousse !" "Moi aussi je suis rousse, tu veux voir ma.." Hem... Bref, C'est peut être moi l'homme bourru qui vais devoir remettre les pendules à l'heure, mais l'amour et l’idylle peuvent naître de milliers de façon cent fois plus subtil que "T'a d'beaux cailloux tu sais ?", On peu soudainement aimer quelqu'un que l'on déteste, et haïr quelqu'un parce qu'on l'aime, on peut s'amouracher de quelqu'un d'inconnu sans pour autant en chercher plus, on peu aimer quelqu'un que l'on côtoie depuis bien longtemps, et peut même être pris de soudain élans, en proie à de vifs sentiments créés par, hormones, adrénaline, ambiance et situation. Et ces sentiments peuvent mourir aussi rapidement qu'il étaient survenus, le temps d'un baiser, d'une étreinte ou d'une partie de jambes en l'air à se fouetter l'cul avec lembas. Mais non, je suis désolé, bien qu'on puisse remettre en question sa vie et ses codes par amour, même pour quelqu'un à peine rencontré, ça ne rend personne intéressant. Ça rend même chiant à vrai dire. En l’occurrence, je vais spoiler sans vergogne mais l'elfe à un instant le choix entre pourchasser l'ennemie qui lui à mis une pâtée certaine depuis une heure de film, ou abandonner son devoir pour sauver son aimé à l'article de la mort. J'ai prié pour qu'elle s'en aille. Le personnage à hésité une seconde, ses jambes lui disaient de partir et pourchasser l'affreux, mais non, elle est resté, clamant "Je vais le sauver" tatatiiiiin... J'aurais aimé être surpris, la voir quitter l'endroit, disparaitre dans la nuit avec un simple "Désolée...", Et laisser le pauvre gars à son trépas. L'originalité aurait pus même sauver le personnage je pense, et aurait pus même être vecteur à une nouvelle intrigue autrement plus intéressante que "Je t'aime, mais toi t'en aime un autre qui t'aime..." Tauriel était plus que dispensable, tout comme la présence de Legolas qui aurait pus avoir la décence de ne faire qu'une apparition, le temps d'un plan, d'une réplique, ou le temps de bouffer une carotte comme Peter Jackson le fait au tout début du film. Balin l'avait fait dans la Communauté de l'anneau, et personne ne lui en veux. Bon, en même temps, il était mort...

Le reste des ajouts cependant constituent une autre trame narrative, invention de Peter Jackson et parle du retour de Sauron sur la terre du milieux. Pourtant, bien que cela demeure relativement intéressant, il est l'explication au fait que "La désolation de Smaug" s’étire et se coupe si brutalement. Je sortais de la salle avec l'amer impression qu'il ne restait qu'une vingtaine de pages du livre à raconter pour le 3eme film. Et nul doute que ce prochaine opus nous comptera l'aventure de Sauron le joyeux nécromancien posant ses valoches à Barad-Dür au beau milieux du Bronx de la terre du milieux. Pour tout dire, j’attends impatiemment de voir le résultat, trop hâtif que je suis d'observer les fans haineux gueulant sur les ajouts. Pourtant, je n'ai pas été gêne par le fait de voir Gandalf crapahuter dans les montagne et bavasser avec Radagast qui n'a toujours essuyé sa crotte de pigeons qui lui coule sur le tiers de la tronche. Cela dit, la confrontation entre la lumière et les ténèbres, le tout sur un pont... Je n'arrive pas à dire si c'est bien un hommage à la Communauté de l'anneau ou un manque d'originalité. Malgré ça, non... Je continue à croire que cette trame mérite d'exister. La seule chose que je n'explique pas... C'est pourquoi avoir passé si peu de temps avec l'urcantrophe Beorn qui était pourtant un personnage sympathique. Peut être est-ce parce que j'aime les paradoxes, mais un homme clamant sa haine des nains qui porte assistance à un groupe entier de ces individus, ce me semble digne d’intérêt.
L'autre chose que j'ai du mal à comprendre cela dit tiens dans l’esthétique du film. Alors que le Hobbit nous parlait de "Azog" comme étant l'orc blanc. J'ai cru comprendre qu'il était l'un des rares albinos. Tout comme Gandalf le Gris est le seul des magiciens à être gris. C'est pas compliqué à comprendre et à vrai dire quand ce dernier revient, immaculé, ça fout la merde avec son boss, Saroumane le Blanc. Donc, Si l'albinisme est si rare chez les orcs qu'il faille le souligner avec un titre pompeux, pourquoi voit on des orcs blancs partout ? A commencer par le lieutenant là, je connais plus son nom, mais il est aussi peu bronzé que son chef lui...

Globalement donc, et dans l'intrigue, je ne suis pas contre les rajouts et extensions opérés par Peter Jackson. Peut être dans "Un voyage inattendu", si... Parce que j’eus préféré que Guillermo Del Toro garde le projet et nous fasse une fable comme il sait les faire. Jackson est un bon réalisateur je ne dit pas le contraire, mais il était la personne toute désigné pour mettre en scène "Le seigneur des anneaux", qui est un récit épique. Un récit où l'on goute à des actes de guerre grandiose et peuplé, un récit où l'on peut avoir peur pour les protagonistes. Pas dans un conte, un conte ou l'on ne peut craindre pour aucun des nains, il est évident qu'il s'en sortirons tous, Un conte où on ne peut craindre pour le héros lui même étant donné qu'un prologue nous le montre, vieux et vaillant, et surtout bien vivant sans aucune séquelles de sa confrontation avec le gros iguane. Le livre de "Bilbo the Hobbit" est avant tout une fable, un voyage ou le personnage s'attardait et découvrait le monde et Jackson semble peiner à en tenir compte.
*Je reviens ici sur se paragraphe en cours d’écriture pour signaler aussi que Gandalf, étant éloigné de l'intrigue principale du film ne pourra plus les sauver miraculeusement en sortant de nul part comme il le faisait avec les Troll ou les gobelins, un ajout bienvenue donc pour le climat de tensions voulu pour le film.

Une impression générale à propos de l'image de "La désolation de Smaug", Et bien c'était magnifique. A commencer par le fait que l'étalonnage des couleurs est bien moins dégueulasse. En réalité, j'avais beaucoup de mal avec l'herbe de la Conté qui était vert Flash dans le premier film. Cette verdoyance était si fort qu'on la retrouvait dans à peu près tout ce qui était végétal, désamorçant par exemple les scènes de poursuites. Non, dans ce second volet, les couleurs sont à la fois plus présentes et plus subtiles, les prairies ont cessé d'avoir un aspect de gazon de banlieues américaines, et le monde "doré" et fermé des elfes présente une palette bien plus riche que dans le royaume des gobelins lequel était... Ocre... Juste "Ocre"...
Cette nouvelle palette donc rend du sens à l'image, la ville du lac est grise parce qu'elle subit la désolation du dragon, Erebor semble bien plus vide grâce à sa désaturation, et l'aspect verdatre de Gol Dulgur (Guldur ? Drulgu ? De Gol machin) nous fait comprendre quels sont les spectres qui y rodent. Rappelez vous la maison de Radagast en proie à la menace des araignées mais pourtant emplie de couleur chaudes et rassurantes.

Source: Externe La Comté dans "Le seigneur des Anneaux"

Source: Externe

 

 

 

 

 

 

La Comté dans "Le Hobbit"


Du reste, la qualité de l'image était bien mieux gérée elle aussi dans ce second opus. Je m'explique, Jackson ayant choisis de filmer avec une camera spéciale dont la résolution étant cinq fois supérieur a la "HD" (je crois qu'on l'appelle la "5K" mais je n'en suis pas sûr), il est évident que son image souffre de l'apparition de détails parfois non désirés qui ne se seraient pas vu avec une qualité moindre. Or, "Un voyage inattendu" avait une manière bien particulière de gérer cela. La plus grosse faute de goût se trouvant sur le visage de Christopher Lee, l'acteur ayant été "flouté" à outrance pour masquer ses rides, son personnage devient hélas un Saroumane effet plastoc plus que décevant. Je suis conscient qu'une décennie s'est écoulée entre les deux sagas mais prendre une camera capable de capter d'infimes détails pour ensuite les gommer me semble une grosse perte de temps, et d'argent. Et malheureusement c'est dans cela que sera engloutis le budget du film. Dans le gommage de rides et la création d’éléments en image de synthèse assez dégueulasses, à l'exception du dragon (Legolas chevauchant le plus beau canasson en carton qu'il me fut donné de voir).

Source: Externe Christopher Lee dans "Le seigneur des Anneaux"

Source: Externe Le même 10 ans plus tard, la preuve qu'il faut assumer sa texture


Je m’étonne tout de même sur certain choix, le plus étrange à mon sens sont ces "micro-plan" présent dans la séquence de rafting en tonneaux. Alors que le reste de la scène jouit d'une définition impeccable, voila que plusieurs images fugaces apparaissent. Le contraste y est soudainement gerbant, la trame et le grain d'une camera de mauvaise qualité se font voir... N'ajoutant rien sinon une vue à la première personne trop rapide pour être apprécié, ces petits "cut" donnent l'impression que le monteur manquant de quelques secondes est allé re-filmer lui même quelques images en noyant son caméscope dans le ruisseau derrière son jardin. Si le but était de rendre la scène désagréable, c'était réussi.

Le Dragon parlons en !... En fait... Parlons en peu... Il est beau, il est magnifique, cherchez pas, on y crois ! On y crois bien plus qu'aux aigles, bien plus qu'aux ouargs. Il est beau, il bouge bien, il a des expressions. Pour moi il est impeccable. Je note d'ailleurs un détail sympathique : la position de ses yeux fait un effets plus qu’intéressant. En effet, on ne parvient pas tout de suite à savoir si l'animal vois ou ne vois pas le hobbit qu'il est en train de chercher. Son gigantesque œil fixe semble à la fois scruter le personnage et les alentours, il s'agit peu être là d'une erreur, d'une faute dans l'animation, mais ce simple élément suffit à faire monter d'un cran la tension de la scène. Personnellement je me suis régalé.

En revanche... La 3D... Maintenant que les lunettes 3D ne me font plus pleurer les yeux comme avant, et après avoir vu comment Elle fut utilisée dans TS Spivet, je voudrais croire que la 3D puisse être un outil de réalisation au même titre qu'une camera grand angle ou un rail de travelling. J'aimerais croire que l'on puisse donner du sens à la 3D comme dans le court métrage de Disney qui précédait "La Reine des Neiges" et qui présentait un cartoon de Mickey où les protagonistes, sortant de l’écran prenaient soudainement couleurs et volume, tout ce qui restait dans le mini film demeurant plat.
Encore une fois, et sans vouloir encenser Peter Jackson, il s'agit là d'un homme capable de faire de très beaux plans et des compositions intéressantes... En 2D... Lorsqu'il travaille en trois dimension, ce metteur en scène se perd et entre en contradiction avec certaines de ses techniques de camera. Dans le premier volet du Hobbit, la 3D faisait fausse et dégueulasse, Ici, dans le second film, elle est juste passable. Juste là pour y être, pour faire des entrées dirais-je, il n'y eu rien de notable et c'est bien dommage. Si vous en avez l'occasion, allez voir ce film en 2D, car le port de lunettes ne vous apportera absolument rien mis à par une abeille au début, et un pioupiou dans les tombes en tiers de film. En outre, Jackson à une certaine tendance à boucher ses fonds et ses avant plan, ce qui ne permet pas une lecture 3D agréable.

Globalement, j'ai vraiment aimé ce second film. Mais je crains qu'il ne soit pas aussi inoubliable que ceux réalisés dix ans plus tôt.
Peut être la franchise ou le réalisateur sont ils essoufflés, peut être est-ce de ma faute aussi ? Il y a une décennie j'étais encore bourgeonnant, rien à voir avec le bel éphèbe qui écrit ces lignes. Toujours est il que j'irais voir la suite avec plaisir, pour moi la question ne se pose pas. Même si j'eus préférer voir un autre à la direction, le travail de Jackson me subjugue autant que sa perte de poids. De la terre du milieux, on est bien partis pour en bouffer encore un moment et ça me plait !

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Commentaires
B
Mec ton premier paragraphe est quasiment pur arrête toi la parce que le reste j'ai eu la flemme de le lire et je ne pense pas être le seul... bref si tu as une opinion met la si les gens ne veulent pas te demander de détails tant pis pour eux, libère toi de l'interpretation d’autrui! Tu es vrai et je pense que seulement après une quête de diplomatie et d'alliance tu t'aideras... GG Monsieur !!
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